Un nouveau mois commence et, avec lui, une nouvelle édition du rendez-vous #EnFranceAussi, créé par Sylvie du blog Le Coin des Voyageurs. Pour la première fois depuis que je fais partie de ce (chouette) collectif, j'ai eu le plaisir (et le privilège) de choisir la thématique du mois, "Sommets". Et parce que c’est la rentrée et qu’on a tous besoin de repartir en vacances, un (très) beau cadeau et à gagner ce mois-ci (plus d’infos en fin d’article) !
Cette thématique, je ne l'ai pas choisie par hasard, je l'ai choisie parce qu'elle me tient à cœur et parce que je suis curieuse de voir le rapport aux sommets, à la montagne, à la prise de hauteur par rapport aux choses (ou toute autre interprétation possible du thème), que peuvent avoir d'autres personnes.
A l'horizon, des sommets
Pour ma part, aussi loin que je me souvienne et tant que je vivais dans le Cantal, il y a toujours eu du relief dans ma vie ; des sommets qui se détachent de l'horizon, imposants, majestueux ; des collines auxquelles grimper ou desquelles dévaler en courant ou en faisant de la luge ; des points culminants à atteindre pour contempler les paysages alentours ...
De toutes ces années passées dans ce paysage bosselé, vallonné, travaillé par la nature et par le temps, est né un certain ennui (voire un ennui certain) face aux paysages de plaine et un besoin de trouver un perchoir, à chaque nouvel endroit que je visite, pour voir le lieu "d'en haut".
Quand on passe un moment dans le Cantal, j'aime retourner sur mes perchoirs naturels (et les faire découvrir à Nico), le plus haut de tous, le Plomb du Cantal ; mais aussi le Rocher de Ronesque, celui de Maisonne ou celui de Carlat ; le Puy de l'Arbre ou encore, celui dont je vais vous parler plus en détail ici, le Col de Légal, et les sommets qu'il permet de relier ou d'admirer, en empruntant le GR400.
Les Monts du Cantal et le GR400
Mais avant de vous parler du Col de Légal et des quelques kilomètres que l'on a parcouru sur le GR400, voici quelques informations géologiques, historiques et pratiques concernant les Monts du Cantal et ce sentier de Grande Randonnée.
Les Monts du Cantal, vestiges du stratovolcan Cantal
Depuis plus de deux millions d'années, au cœur du Cantal, sommeille le plus grand stratovolcan d'Europe, qui a d'ailleurs donné son nom au département. Formé il y a 13 millions d'années, et très largement érodé depuis, ce volcan d'un diamètre allant de 50 à 70 kilomètres, dont la partie centrale se trouve au niveau du Plomb du Cantal, ne ressemble plus, aujourd'hui, à l'image classique que l'on se fait d'un volcan.
Ici, pas de cratère visible, même si, vu du ciel, on peut deviner la forme d'un cône aplati. Il a laissé place à des vallées en auge, des plateaux basaltiques et des dizaines de sommets (appelés puys, rochers, becs ou encore sucs) ; tous modelés par la lente érosion qui s'opère depuis la formation du volcan, mais aussi, et surtout, depuis la dernière de ses éruptions.
L'ensemble de ces sommets, dont l'altitude varie entre 1376 mètres (Puy Masso) et 1855 mètres (Plomb du Cantal), forment les Monts du Cantal. Ce massif montagneux, qui fait partie du Massif Central et du Parc Naturel Régional des Volcans d'Auvergne, occupe une superficie de 2700 km².
Le GR400 : un sentier pour faire le tour du volcan
Sentier de Grande Randonnée long de 140 kilomètres, le GR400 permet de découvrir ces paysages hors du commun. A flanc de montagnes, dans les cirques glaciaires, sur les cols ou sur les crêtes, ce circuit balisé permet de découvrir les vestiges du plus grand volcan d'Europe.
L'altitude du GR400 varie entre 750 et 1855 mètres, avec un dénivelé cumulé de 4635 mètres. Il faut généralement prévoir huit journées de marche pour parcourir les 140 kilomètres, à travers les Monts du Cantal. Des boucles de 20 à 45 kilomètres, réalisables en deux ou trois jours de marche, permettent également d'avoir un bel aperçu de l'ancien volcan et de tous les sommets qui composent le massif cantalien.
Comme tous les sentiers de Grande Randonnée, le GR400 est balisé grâce à deux traits horizontaux : un rouge, l'autre blanc.
Du Col de Légal au Rocher du Cassaïre : une petite randonnée sur le GR400
Situé à 1231 mètres d'altitude, le Col de Légal accueille une station de ski de fond et de raquettes en hiver. Durant l'été, c'est le point de départ de nombreuses randonnées pédestres, en vélo ou même à cheval. Cela a été notre point de départ en ce samedi de juillet.
Le buron du Col de Légal
Dès les premiers mètres en direction du GR400, à quelques mètres de là, et des sommets qui surplombent le Col de Légal, la vue sur les alentours s'élargit et s'embellit. Rapidement, on croise les premières fleurs parsemées d'insectes, les premières vaches, le premier buron.
Petit point vocabulaire :
Le buron est un bâtiment que l'on trouve en altitude dans les Monts du Cantal, l'Aubrac, le Cézalier et les Monts Dore. Il est construit entièrement en pierre et recouvert de lauzes ou d'ardoises. Il est utilisé pour la fabrication et le stockage du fromage ou, le plus souvent aujourd'hui, en tant que refuge.
Le Buron du Col de Légal, ouvert de juin à septembre, fait partie des six burons encore en activité dans le département, on peut y acheter du cantal et de la tomme.
Une fois le Buron de Légal passé, le GR400 n'est plus qu'à quelques mètres, au bout d'une montée, parfaite (-ment usante) pour s'échauffer !
Prendre de la hauteur sur le GR400
Rapidement, en raison du dénivelé important (146 mètres en un peu plus d'un kilomètre), la station du Col de Légal disparaît du champ de vision et le paysage devient une succession de champs, de forêts, de collines et de sommets ; un patchwork de verts, parsemé de fleurs jaunes et violettes, de rochers plus ou moins gros.
Les premiers sommets apparaissent, eux aussi tout en nuances de vert ; déformés, pelés ou recouverts de végétations, abruptes parfois, d'autres fois plus arrondis. Le relief se met en place, modèle le paysage, lui donne du caractère, créé des jeux d'ombres avec le soleil qui inonde ce paysage vert et bleu.
Des forêts, de conifères et de feuillus, habillent les flancs des collines, des montagnes, lorsque les rochers ne prennent pas toute la place ou que la pente n'est pas trop abrupte. L'implantation des arbres forme de drôle de dessins sur les reliefs, les soulignent même parfois ou prolongent leurs aspérités.
Le GR400 : toute une variété de paysages
Quelques mètres plus loin, et plus haut, le sentier descend, finalement, et le paysage change totalement. Là, les sommets ne sont plus visibles, ou seulement à travers les branches et les feuilles des arbres, par intermittence. Autour du chemin, des arbres aux troncs déformés, dans lesquels les fils barbelés sont parfois pris au piège, offrent un peu d'ombre.
Les sommets, au fur et à mesure que l'on s'en rapproche, se détachent de mieux en mieux sur l'horizon, leurs crêtes se découpent nettement sur le ciel bleu, offrant parfois des spectacles surprenants de sommets acérés, bruts, presque en angle droit. On se demande comment ils ont été formés, mais aussi comment ils peuvent résister à l'usure du temps et du climat.
Sur le GR400, les promeneurs sont nombreux ; certains beaucoup plus matinaux que d'autres (nous !) et sont déjà sur le chemin du retour. D'autres ont décidé de prendre encore plus de hauteur, en faisant la balade depuis le dos de leur cheval.
Cap sur le Buron de Cabrespine
Le sentier boisé se termine avec le retour des grandes étendues vertes et l'apparition du Buron de Capresbine en ligne de mire. Perché à mi-hauteur sur le flanc de la montagne, ce joli buron, qui sert aujourd'hui de refuge, bénéficie d'une vue à couper le souffle sur la Vallée de Mandailles et celle de la Bertrande.
A l'intérieur, l'odeur du feu de cheminée, tellement présente, semble avoir imprégné chaque pierre qui forment le mur et chaque objet de mobilier présent. A l'abri derrière les murs épais de ce buron, dont on se demande comment certaines pierres impressionnantes sont arrivées ici, on en oublierait presque la chaleur de ce mois de juillet.
Sur le GR400, un sommet peut en cacher un autre !
Le sentier se poursuit, tout en dénivelé positif, révélant de nouveaux sommets, précisant la forme de certains. La vue dans notre dos est aussi belle que celle qui nous fait face, les vallées s'étirent à perte de vue, égrainant ça et là quelques villages dont on aperçoit parfois seulement les clochers.
Le sentier déjà parcouru se révèle sous un jour nouveau, il serpente sur le flanc des montagnes, laisse apercevoir son tracé, ses détours, dans ce paysage préservé, où l'homme s'adapte à la nature et non pas l'inverse.
Dans cet environnement fait seulement de vert et de nature, le silence est troublé uniquement par le bruit des pas des marcheurs et celui des cloches des vaches, sur un flanc de montagne opposé.
Et puis encore un autre !
Lorsque le sentier arrive au pied d'une nouvelle montée abrupte, le paysage est dominé par ce nouveau monticule à gravir, par ce sommet qui efface tous les autres, tant il prend de place. Et, toujours, le fait de gagner en hauteur permet de révéler un autre sommet, plus loin, légèrement plus haut.
Sur le GR400, la tentation est toujours grande d'aller voir la vue depuis le sommet d'après. On a le sentiment que cela ne prendra pas beaucoup de temps, que la pente n'est pas si raide, qu'on verra mieux telle ou telle chose, mais, parfois, certains sommets s'interposent encore dans le paysage. Et il n'y a qu'en marchant, en grimpant à chacun de ces sommets, que l'on peut redécouvrir le paysage et tous les sommets qu'ils restent encore à explorer !
C'est en répondant à cette tentation de voir la vue, plus loin encore, de plus haut, que l'on a marché jusqu'au Rocher du Cassaïre, à 1576 mètres d'altitude. L'occasion de découvrir le buron du même nom, avec son impressionnante voûte, et, en contrebas, le bédélat (un bâtiment destiné aux veaux), en grande partie détruit.
Un sentier, des sommets
Depuis le Rocher du Cassaïre, comme tout au long de cette petite portion du GR400, le paysage est enchanteur, les reliefs se succèdent mais ne se ressemblent pas. On découvre la diversité des paysages, de la végétation, des sommets, sur lequel le temps qui passe à, certes, toujours eu une action, mais jamais la même. Certains sont arrondis, quasiment polis, alors que d'autres semblent presque taillés au couteau.
Ces sommets donnent, au paysage, du caractère, une certaine force malgré leur fragilité face à l'érosion, de la matière à observer, une occasion de s'extasier devant les merveilles de la nature et l'envie de marcher à nouveau sur le GR400 à la découverte du plus grand volcan d'Europe.
Quelques informations pratiques concernant notre petite randonnée sur le GR400
- L'itinéraire réalisé ici représente une balade d'environ 9 kilomètres (aller-retour) ;
- Pour relier le Rocher du Cassaïre depuis la station du Col de Légal, il y a un 374 mètres de dénivelé positif et 58 mètres de dénivelé négatif ;
- Il faut, évidemment, porter de bonnes chaussures de marche pour suivre ce sentier et être prudent, dans les descentes en particulier, puisque les chemins empruntés sont parsemés de cailloux ;
- Si vous souhaitez avoir d'autres informations pratiques concernant le GR400, consultez le site dédié aux sentiers de Grande Randonnée "Mon GR" ou le site Cantal Destination
Le concours #EnFranceAussi du mois de septembre
Ce mois-ci, le collectif #EnFranceAussi a le plaisir de mettre en jeu deux Smartbox "Week-end insolite" ! Pour tenter d'en gagner une, il vous suffit de poster deux commentaires : un sur un blog (le mien et/ou celui d'un autre blogueur participant au rendez-vous) et l'autre sur la page Facebook En France Aussi (en indiquant sur quel(s) blog(s) vous avez commenté).
Et pour lire tous les articles de cette édition de septembre, il suffit de naviguer sur cette carte :
Balade sympa, mais je pense que je mettrais beaucoup de temps à faire ce parcours, les pauses photos (fleurs, vaches…) seraient certainement très nombreuses, car c’est vraiment très joli !
Merci de nous faire découvrir ta belle région, je ne connais qu’un petit bout de ce département, et c’est un souvenir lointain d’une semaine de vacances entre amis…. où j’ai rencontré mon mari (mais ce n’est pas un cantalou !). Alors forcément, le Cantal est particulier pour moi…
Haha ! Mais on a mis beaucoup de temps aussi tu sais ! Entre le fait que j’ai failli mourir durant le premier kilomètre, je n’arrivais pas à reprendre mon souffle pour une raison inconnue, j’ai bien cru que j’allais renoncer alors que j’attendais cette balade depuis super longtemps et toutes les photos que j’ai faites, l’ascension a pris plus de temps que ce qu’il faut en réalité ! Je ne savais pas que tu avais cet attachement particulier au Cantal, c’est toujours à part les lieux où l’on rencontre les personnes qui comptent !
Quelle balade très bien documentée!
Merci Anne !
Merci Pauline pour ce merveilleux thème ! Je n’ai jamais mis les pieds en Auvergne mais c’est sur ma to-do-list pour 2019 ! Tes photos donnent vraiment envie de découvrir la région. A bientôt ! 🙂
Ah chouette ! J’ai hâte de te suivre sur les terres auvergnates alors 🙂 Et les articles du mois sont très chouettes oui (je n’ai pas encore lu ton deuxième mais ça ne saurait tarder !), je suis ravie que le thème vous ait tant inspirés 😀
Les monts du Cantal sont vraiment fascinants. Partir au coeur de ces anciens volcans est toujours une belle aventure ! Je comprends que tu y sois attachée !
Oui fascinants et magnifiques 🙂 C’est fou ce que peut faire la nature quand même !
Très chouette balade dans ce si beau Cantal dont tu parles si bien. Merci Pauline pour ce chouette thème que tu nous a proposé pour cette rentrée.
Merci pour tes gentils mots Cécile ! Je fais le tour des blogs petit à petit et les articles sont très chouettes, merci à toi d’avoir répondu présente et d’une si jolie manière !
J’adore les paysages de montagnes et il semble bien que ton Cantal est l’endroit rêvé pour ça!
C’est pas moi qui te dirais le contraire ^^ Et puis maintenant que tu as goûté au vrai cantal (le fromage), il faut bien que tu découvres d’où il vient 😉
Un bien bel article qui décrit merveille le Cantal, que j’espère découvrir un jour !
Merci Nicolas ! Je te le souhaite aussi 😉
Quand j’avais 15 puis 16 ans, mes parents nous emmenaient dans le Cantal, pour 1 mois, dans un tout petit village avec 10 habitants, et pas de jeunes. A l’époque je pleurais devant « Coeur Océan » et rêvait de vacances similaires. Je ne me rendais pas compte de ma chance ! aujourd’hui j’aimerai y retourner. On parle toujours du GR20 mais il y a tellement d’autres circuits à faire en France!!
Haha, je peux comprendre, ça manque de mer bleu piscine et les ruisseaux et plans d’eau sont quand même plus froids que la mer ^^ Mais ça a un autre charme ! Je te souhaite d’y retourner très bientôt alors, et si tu as besoin de conseils, n’hésite surtout pas 🙂
Moi aussi je pleure quand je reste trop longtemps loin de mes montagnes. Quand j’aurai récupéré ma cheville je tenterai de m’organiser un ptit séjour dans ton cher Cantal!
Merci pour cette jolie balade!
Entre filles de la montagne on se comprend ^^ Si tu as besoin d’aide pour l’organisation tu sais à qui demander hein 😉 Et surtout si tu planifies ça tu me donnes tes dates pour qu’on s’y croise ! Bisous copine :*
je ne me suis jamais encore aventurée par chez toi
étant #Teamsansvoiture je ne sais pas trop faire pr explorer ce coin de France
C’est vrai que ce n’est pas la région la plus évidente sans voiture, mais je pense que certaines choses sont faisables quand même. Déjà pour aller jusqu’à Aurillac tu peux prendre le train (via Clermont-Ferrand) et une fois sur place il y a des bus du département qui peuvent te permettre de découvrir certains villages ou paysages
Rhalala tu me donnes toujours envie de faire un tour dans le Cantal ! Maintenant je dois en découvrir les sommets !
Si tu participes au trail tu les verras ^^ Mais ça sera sûrement pas les meilleurs conditions pour les admirer !
je découvre le mot « buron » … 🙂 Mieux vaut tard que jamais! En tout cas, cette randonnée de 8 jours me dit bien et en plus il y a de belles fleurs!
Comme tu dis ! Et tu ferais direct la randonnée de 8 huit jours ? Tu es bien courageuse toi !
Très bel article : je ne connais pas encore le Cantal, mais ton article donne envie ! Tout, le chemin, les paysages, les fleurs, les fromages…et les gens bien sûr ! qui en parlent si bien. Merci Pauline !
Merci beaucoup Christine, je ne peux que te conseiller d’y aller ! Et si tu as besoin de conseils et de renseignements avant d’y aller, surtout tu n’hésites pas 😉
Ah les sentiers du Cantal ! Quel grand bonheur de les parcourir ! C’est une région que j’adore vraiment. Je ne connais pas encore cette portion que tu présentes ici, mais j’y ai reconnu des paysages familiers, avec notamment la merveilleuse vallée de Mandailles et l’emblématique puy Griou que nous avons gravi. J’espère avoir encore l’occasion d’y retourner à nouveau un jour. En attendant, merci pour ce beau partage qui me rappelle de bien jolis souvenirs.
Je suis évidemment totalement d’accord avec toi, le Cantal c’est le bonheur ! Je te souhaite d’y retourner très prochainement et surtout si tu y vas, n’oublie pas de me prévenir, ça serait un véritable plaisir que de partager un bout de sentier avec toi 🙂
Te lire fut un régal. On a vraiment le sentiment d’être à tes cotés durant la randonnée.
Quel environnement magnifique. Merci Pauline
Merci beaucoup Sabrina, ça me touche énormément ?? J’espère qu’un jour tu auras l’occasion d’aller voir comme le Cantal est magnifique en vrai 🙂
C’est un coin de France que je connais tellement mal ! Et c’est finalement pas si loin que ça de chez moi.
Ton billet donne envie et me donne plein d’idées pour mes prochaines vacances 🙂
Tu me dis si ton projet se concrétise, qu’on puisse éventuellement s’y croiser et que, dans tous les cas, je puisse te donner des bonnes adresses !
Tu n’imagines pas ma joie quand j’ai découvert (un peu tard, certes) le thème de ce mois de septembre 😀 Merci beaucoup de nous emmener sur les sommets de France, je suis ravie! Je ne connais pas du tout le Cantal, mais j’avoue que ça me tente bien… Une petite randonnée à cheval, pourquoi pas ?! 🙂
Mieux vaut tard que jamais ? Et quel bel article tu as fait, ça valait bien un peu d’attente ! Pour le Cantal je ne peux que t’encourager à y aller, c’est le plus bel endroit de la terre (en toute subjectivité ^^) !